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Evolution des prix du fioul Mars 2015

Évolutions et tendances des prix moyens du fioul

Publié le 13/04/2015 à 00h00

Au mois de Mars 2015, les prix du fioul ont fluctué au niveau national, alternant baisses puis hausses. En effet, les prix qui avaient continué d’augmenter pendant la première semaine du mois, ont chuté les deux semaines suivantes pour revenir à la hausse en fin de mois. Globalement, le mois a observé une tendance baissière.

Comme le montrent les données DIREM, le prix du fioul ordinaire est passé de 762,3€ le 27 février 2015 à 746,8€ le 27 mars 2015, soit une baisse non négligeable de 15,5€. Cette baisse des prix est une conséquence directe de la fluctuation des prix du pétrole sur tout le mois avec une tendance à la baisse (WTI à New-York et Brent à Londres). Fioulmarket a très largement répercuté cette baisse sur ses prix et est resté très en deçà de la moyenne nationale. Ainsi, le 27 février le prix pour 1000 litres de fioul était de 752€ pour terminer le mois à 724€, soit une baisse de 28€. Cette baisse des prix ainsi que nos nombreuses ventes flashs et codes promo sont pour nous le moyen de vous proposer le fioul le moins cher.

Ne perdez pas de temps et commandez votre fioul avant que les prix ne remontent !

 

Evolution prix du fioul mars

Le baril de brut se stabilise à New-York

À New-York, le cours du brut a alterné tendances baissières et haussières sur le mois de mars avec une légère tendance à la baisse. Après avoir perdu plus de 60% de sa valeur depuis juin 2014, le baril est resté sous la barre symbolique des 50 dollars tout le mois.

Le baril de « light sweet crude » (WTI), pour livraison en avril avait atteint 49,76 dollars le 27 février pour redescendre à 48,87 dollars le 27 mars après plusieurs chutes et hausses pendant le mois. En effet, si sur la période le baril a perdu 0,89 dollars sur le Nymex, il est descendu jusqu’à 44,84 dollars le 13 mars.

Le prix du baril ne semble donc toujours pas remonter de manière durable au mois de mars.

Les cours du pétrole semblaient se stabiliser et même repartir à la hausse au mois de février dernier. Les intempéries au Koweït et en Irak avaient engendré d’importants retards dans la logistique, dans le même temps où la fermeture de puits pétroliers américains avait ralenti la production. De plus, à cause des violences de l’État islamique, la Libye n’était plus en mesure d’assurer la totalité de ses exportations. La baisse du dollar en milieu de mois avait rendu les échanges libellés en dollars moins intéressants. En parallèle, l’intervention de l’Arabie Saoudite au Yémen pour protéger une des plus grandes routes maritimes commerciales en démantelant la progression des rebelles chiites avait fait progresser le baril cette semaine.

Autant de facteurs qui auraient pu engendrer une hausse du prix du baril mais qui ont été largement compensés par des éléments plus favorables à une baisse.
En facteurs de baisse de prix on note :

  • Le manque d’information concernant l’intervention de l’Arabie Saoudite mentionnée précédemment.
  • Le renforcement du dollar sur le marché des changes après la sortie de bons chiffres sur l’emploi en février aux États-Unis. Les chiffres en terme de créations d’emploi et de chômage ont été meilleurs que prévus. Le dollar a connu son plus haut niveau en début de mois.
  • La hausse des taux de la Réserve fédérale (Fed) cause de l’augmentation du billet vert.
  • Le déclin de la fermeture des puits pétroliers américains.
  • L’alerte lancée par l’Agence internationale de l’énergie mettant en garde le marché sur les capacités de stockage de pétrole aux États-Unis atteignant leur niveau maximal. L’Agence a aussi attiré l’attention des investisseurs sur les capacités insuffisantes de Crushing.
  • L’offre de pétrole qui dépasse toujours largement la demande. Les réserves américaines n’ont pas été si importantes depuis 1930 avec 458,5 millions de barils et la production continue elle aussi de battre des records historiques avec 9,4 millions de barils par jour. La productivité des puits étant en croissance constante et les coûts de forage ne cessant de diminuer, une amélioration de ces chiffres n’est pas envisagée dans l’immédiat.
  • Le doute des investisseurs quant à une potentielle hausse des réserves de brut dans un contexte de marché très volatil.
  • Sur le marché international, la production irakienne qui s’élève à plus de 2,6 millions par jour n’encourage pas le rebondissement des prix du brut.
  • Les pourparlers concernant le nucléaire iranien.

À Londres le Brent baisse au mois de mars

En mars, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) en dollars pour livraison en mai a baissé pendant les trois premières semaines du mois pour ensuite terminer à la hausse. Sur le mois, il a connu une baisse de 5,36 dollars. Depuis juin, il avait connu une baisse de près de 57%. En effet, il est tombé de 111,8 $ à 47,86 $ en février, atteignant son plus bas niveau depuis début 2009.

Or, la tendance qui s’était inversée en février reprend à la baisse ce mois-ci. Le prix du baril s’affichait à 61,99 dollars le 27 février sur l’Intercontinental Exchange (ICE), et a terminé le mois à 56,63 dollars le 27 mars. Une baisse importante mais qui laisse le Brent au dessus de la barre significative des 50 dollars. Le Brent avait pourtant commencé le mois avec sa meilleure performance depuis mai 2009.

Les explications de la hausse des prix sont les mêmes que pour le brut de New-York. L’écart entre le Brent et le WTI auquel les analystes sont très attentifs, témoigne du niveau d’écoulement des stocks américains. Cet écart d’environ 8 dollars s’est atténué. Il était de 12 dollars en février et le plus important non relevé depuis le début de l’année 2014.

Cette baisse du Brent explique en partie la baisse des prix du fioul sur le mois. Notez aussi que l’influence du Brent sur le prix du fioul est plus importante que celle du WTI, le Brent étant la référence sur le marché européen.

L’euro se stabilise en mars

Si l’euro a connu une forte baisse pendant les deux premières semaines de mars (-0,0668), il a pourtant terminé le mois de mars avec deux semaines de hausse (+0,0284). On a donc constaté une tendance générale à la baisse sur le mois (-0,0384). En effet, l’euro a fini le mois de mars à 1,0856 et l’avait commencé à 1,1240 dollars.

La monnaie unique a été pénalisée par le renforcement du dollar, conséquence directe des divergences de politiques monétaires entre la zone euro et les États-Unis.

Cependant, malgré sa tendance baissière, on parle de stabilisation de l’euro. Le marché reste prudent dans un contexte de négociations entre la Grèce et Bruxelles. La réserve fédérale qui a alimenté les rumeurs sur les dates de sa prochaine hausse des taux constitue aussi un élément de stabilisation de l’euro.

Les prix du fioul domestique ont donc baissé globalement au mois de mars. Rien ne prouve cependant que la hausse des prix constatée pendant la dernière semaine du mois s’arrêtera sur les semaines à venir. C’est donc le moment de commander avant que les prix n’augmentent encore. Sur fioulmarket.fr, nous mettons à jour nos prix quotidiennement et dans toute la France. N’hésitez pas à vous inscrire à nos alertes prix pour être informé des meilleurs prix du fioul !

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