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Le cours du pétrole au plus bas

Évolutions et tendances des prix moyens du fioul

Publié le 15/07/2015 à 00h00 mis à jour le 29/01/2021 à 16h20

Le cours du pétrole pourrait bien subir un nouveau contrecoup dans les mois à venir. Le point sur les différentes raisons, avec fioulmarket.fr.

Le cours du pétrole au plus bas

Le Brent de la Mer du Nord, tout comme le brut léger américain WTI, accusent une nouvelle baisse de leur valeur, de près de 12%, retrouvant ainsi le niveau observé en avril dernier. Ainsi, le semblant de stabilisation du cours de pétrole à environ 60 dollars devrait prendre fin et celui-ci pourrait potentiellement descendre jusqu’à 50 dollars.

En cause, la situation politique grecque qui inquiète les marchés, mais aussi le sur-approvisionnement du marché en barils de pétrole. Les principaux producteurs de pétrole, dont fait notamment partie l’Opep, refusent en effet de réduire leur production de pétrole dans le but de limiter la perte de parts de marché.
On notera également la reprise de la production de pétrole et de gaz de schiste aux États-Unis, après l’observation d’une baisse de près de 50% du nombre de puits. L’heure est actuellement à l’optimisation des coûts, par exemple dans la formation du Bakken (Dakota du Nord) où l’on n’hésite plus à multiplier les puits sur un même terrain.
La Chine, qui pourrait faire face à une importante crise boursière, est un autre paramètre à prendre en compte. Cette éventualité ne serait pas sans conséquence sur le cours du pétrole puisque la Chine est aujourd’hui le premier importateur de pétrole au monde.

Un dernier élément pourrait jouer sur l’évolution du cours du pétrole au cours des prochains mois. L’Iran, l’un des principaux pays membres de l’Opep pourrait bénéficier d’un abandon des sanctions économiques mises en place à son encontre. Cela entraînerait très probablement un afflux de pétrole iranien sur le marché mondial ; une alternative fort probable lorsque l’on sait que l’Iran dispose des capacités de production adéquates, de réserves, mais aussi des ressources technologiques nécessaires. Pour l’heure, le pays se positionne comme le 2ème producteur de pétrole au sein de l’Opep, malgré les sanctions, avec 6,4 millions de barils par jour.

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