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Congrès mondial du pétrole : la baisse des prix au programme

Actualités du fioul

Publié le 12/07/2017 à 09h58 mis à jour le 06/06/2022 à 16h29

Organisé à Istanbul du 9 au 13 juillet 2017, le 22e Congrès mondial du pétrole est l’occasion, pour les acteurs du marché, de faire le point sur la situation actuelle et de mettre en place des stratégies à court et moyen termes. Cette année, les préoccupations s’orientent vers une seule problématique : la baisse des prix du pétrole, depuis plusieurs mois.

Congrès mondial du pétrole : la baisse des prix au programme

Un Congrès mondial du pétrole dans un contexte incertain

Lors du précédent Congrès mondial du pétrole en 2014, les responsables politiques et les dirigeants de sociétés pétrolières et gazières s’étaient réunis dans un climat plutôt serein, puisque le prix du baril oscillait alors autour de 100 dollars le baril.

Le contexte est bien différent aujourd’hui : trois ans plus tard, le baril peine à dépasser la barre symbolique de 50 dollars. La situation s’avère préoccupante puisque cette chute des prix, qui dure depuis le deuxième trimestre 2014, semble insoluble. L’accord de réduction de la production conclu entre la Russie et les pays membres de l’OPEP, mis en place en 2016 pour endiguer cette crise, reste pour l’instant sans effet.

Avec un prix du fioul en baisse depuis le 2e semestre 2014 et une situation actuelle peu propice aux investissements, dirigeants de grandes compagnies mondiales et ministres de l’Énergie de plusieurs pays devront trouver un terrain d’entente pour mettre fin à l’effondrement des prix et trouver un équilibre entre l’offre et la demande.

> A lire aussi : Baisse du prix du pétrole : quelles causes, et comment relancer le marché ?

La baisse du prix du fioul à l’ordre du jour

Pendant cinq jours, le Congrès mondial du pétrole devrait être l’occasion d’évoquer plusieurs thématiques :

  • les conséquences de l’accord international sur le climat pour le secteur pétrolier ;
  • les relations entre les pays membres et non-membres de l’OPEP ;
  • l’exploitation de pétrole de schiste par les États-Unis.

> A lire aussi : La production de pétrole de schiste repart à la hausse aux États-Unis

En effet, si la Russie et l’OPEP ont décidé conjointement de réduire leur production pour relancer un marché moribond, la production massive de pétrole de schiste aux États-Unis anéantit tous leurs efforts. Une situation qui met sous pression les compagnies pétrolières et les pays producteurs, qui dépendent souvent largement de la production et de l’exportation d’hydrocarbures.

Pour l’heure, les États-Unis n’ont donné aucun signe indiquant une baisse ou une limitation de leur production. L’accord scellé entre la Russie et l’OPEP est valable jusqu’en mars 2018 ; d’ici là, une réunion entre les ministres des pays impliqués devrait permettre de faire un premier bilan de la situation, et d’adapter les quotas adoptés si nécessaire. Sous couvert d’anonymat, certains responsables russes ont déjà affirmé que la Russie s’opposerait à de nouvelles restrictions. Une hypothèse qui cristallise un peu plus les tensions, alors que la Libye et le Nigeria ont aussi augmenté leur production dernièrement, alimentant un marché déjà saturé.

 

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