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USA : plus de pétrole brut mais moins de fioul de chauffage

Actualités du fioul

Publié le 23/02/2016 à 00h00 mis à jour le 16/11/2022 à 16h16

Durant la semaine du 11 au 15 janvier, les stocks de pétrole brut ont augmenté plus que prévu aux États-Unis, selon les chiffres diffusés par le ministère américain de l’Énergie. Cependant, cette hausse s’est équilibrée grâce à une baisse des stocks de fioul de chauffage.

usa hausse prix

Le pétrole brut en hausse constante

Les réserves commerciales de pétrole brut ont augmenté de 4 millions de barils au 15 janvier 2016, atteignant ainsi un total de 486,5 millions de barils. Une hausse supérieure aux prévisions puisque les experts tablaient sur une progression de 2,2 millions de barils « seulement » pour cette date.

Ces chiffres sont cependant moins alarmants que ceux annoncés par l’American Petroleum Institute (API). La fédération professionnelle avait effectivement prévu une augmentation de 4,6 millions de barils.

Dans un contexte de crise liée à un excédent de barils sur le marché, les réserves de pétrole brut se rapprochent de niveaux jamais vus depuis 80 ans. Elles enregistrent à ce titre une hausse de 22,3% par rapport à l’an dernier, à la même période.

Les réserves d’essence ont également connu une hausse importante de 4,6 millions de barils : c’est bien plus que les prévisions des experts de Bloomberg (qui prévoyaient une hausse de 1,9 millions de barils), mais moins que les prédictions de l’API (qui tablaient sur 4,7 millions).

En revanche, les stocks de produits distillés, comme le diesel, le fioul de chauffage, le kérosène, ont observé une baisse d’un million de barils d’une semaine sur l’autre, contredisant les experts qui prévoyaient une hausse de 800 000 à 1,5 millions de barils.

Ces stocks progressent toutefois de 20,5 % par rapport à l’année dernière, malgré un froid rigoureux (mais tardif) sur le pays.

Une production qui ne faiblit pas non plus

Malgré une période morose pour le pétrole, la production américaine a encore légèrement augmenté, à hauteur de 8 000 barils par jour. Les réserves du terminal pétrolier de Cushing, dans l’Oklahoma, utilisées comme référence pour le pétrole échangé à New-York, ont également progressé à hauteur de 200 000 barils par jours.

Toutes catégories confondues, les stocks de pétrole brut américains ont augmenté de 6,6 millions de barils. En parallèle, la demande aux États-Unis a plutôt tendance à s’affaiblir : les USA ont consommé en moyenne 19,3 millions de barils par jour ; c’est 1,8 % de moins que l’an dernier à la même période. La demande de produits distillés s’est effondrée, baissant de 15,4 %, tandis que la demande d’essence a baissé de 2,8 % en un an.

Pour aller plus loin :Durant la semaine du 11 au 15 janvier, les stocks de pétrole brut ont augmenté plus que prévu aux États-Unis, selon les chiffres diffusés par le ministère américain de l’Énergie. Cependant, cette hausse s’est équilibrée grâce à une baisse des stocks de fioul de chauffage.

Le pétrole brut en hausse constante

Les réserves commerciales de pétrole brut ont augmenté de 4 millions de barils au 15 janvier 2016, atteignant ainsi un total de 486,5 millions de barils. Une hausse supérieure aux prévisions puisque les experts tablaient sur une progression de 2,2 millions de barils « seulement » pour cette date.

Ces chiffres sont cependant moins alarmants que ceux annoncés par l’American Petroleum Institute (API). La fédération professionnelle avait effectivement prévu une augmentation de 4,6 millions de barils.

Dans un contexte de crise liée à un excédent de barils sur le marché, les réserves de pétrole brut se rapprochent de niveaux jamais vus depuis 80 ans. Elles enregistrent à ce titre une hausse de 22,3% par rapport à l’an dernier, à la même période.

Les réserves d’essence ont également connu une hausse importante de 4,6 millions de barils : c’est bien plus que les prévisions des experts de Bloomberg (qui prévoyaient une hausse de 1,9 millions de barils), mais moins que les prédictions de l’API (qui tablaient sur 4,7 millions).

En revanche, les stocks de produits distillés, comme le diesel, le fioul de chauffage, le kérosène, ont observé une baisse d’un million de barils d’une semaine sur l’autre, contredisant les experts qui prévoyaient une hausse de 800 000 à 1,5 millions de barils.

Ces stocks progressent toutefois de 20,5 % par rapport à l’année dernière, malgré un froid rigoureux (mais tardif) sur le pays.

Une production qui ne faiblit pas non plus

Malgré une période morose pour le pétrole, la production américaine a encore légèrement augmenté, à hauteur de 8 000 barils par jour. Les réserves du terminal pétrolier de Cushing, dans l’Oklahoma, utilisées comme référence pour le pétrole échangé à New-York, ont également progressé à hauteur de 200 000 barils par jours.

Toutes catégories confondues, les stocks de pétrole brut américains ont augmenté de 6,6 millions de barils. En parallèle, la demande aux États-Unis a plutôt tendance à s’affaiblir : les USA ont consommé en moyenne 19,3 millions de barils par jour ; c’est 1,8 % de moins que l’an dernier à la même période. La demande de produits distillés s’est effondrée, baissant de 15,4 %, tandis que la demande d’essence a baissé de 2,8 % en un an.

Pour aller plus loin :