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Baisse du prix du pétrole : les cours devraient à nouveau chuter selon les experts

Évolutions et tendances des prix moyens du fioul

Publié le 16/03/2015 à 00h00

Après s’être redressés temporairement, les cours américains du pétrole devraient de nouveau chuter. En cause, des stocks qui s’accumulent confrontés à une crise qui s’enlise et impacte directement les prix du pétrole.

 

Baisse du prix du pétrole : les cours devraient à nouveau chuter selon Goldman Sachs

Cours du pétrole : une hausse de bien courte durée

Après plusieurs mois sans interruption, la baisse du prix du pétrole a brièvement freiné sa chute en janvier et février. Le baril a en effet augmenté de près de 30% pendant ces deux mois, en raison des perturbations dans l’offre émise par le Moyen-Orient, de la forte demande due à la saison hivernale et d’une hausse des marges au moment du raffinage.

Les analystes sont cependant sceptiques concernant un redressement durable des prix. Dans un rapport publié le dimanche 8 mars par Goldman Sachs, différents arguments mettent en évidence une baisse probable des cours du pétrole dans les jours à venir.

Le West Texas Intermediate (WTI), référence sur le marché américain, devrait ainsi reculer jusqu’à 40$ le baril, entraînant le Brent dans sa chute ; un niveau jamais atteint depuis 2009, en plein cœur de la crise financière mondiale.

La baisse du prix du pétrole et ses multiples causes

Les causes de cette nouvelle baisse du prix du pétrole sont nombreuses et liées. La hausse de janvier et février a fait suite à une augmentation de la demande pendant la période hivernale. Avec le retour des beaux jours, cette demande devrait fortement décliner. Cette demande en berne devrait provoquer l’augmentation des stocks ; le prix du pétrole devrait alors baisser, entraînant avec lui le prix du fioul, de l’essence et de tous les autres produits pétrolifères.

Plus optimiste, le Koweït table plutôt sur une stabilisation des cours du pétrole autour de 50 à 60 dollars, selon son ministre du Pétrole Ali Al-Omair. Une stagnation rendue possible, toujours d’après lui, grâce au développement géopolitique en Irak et en Libye ainsi qu’à la baisse de production de sables bitumineux et de pétrole de schiste. Les semaines à venir devraient trancher entre l’analyse des États-Unis et du Koweït.

Pour aller plus loin :